Retour sur un échec partagé !
Les SPIP et ses personnels sont « ballottés » par une politique pénale qui se caractérise par une hystérie législative, guidée par le souci de rassurer l'opinion publique à intervalles réguliers. La fermeté médiatisée à l'égard du délinquant s'oppose à une volonté moins affichée d'aménager des peines fermes - dont le surnombre semble embarrasser. Ceci révèle une schizophrénie de fond, source d'incohérences pour les personnels.
Parallèlement, la politique de ressources humaines à l'égard du corps de base de la (...)